En ligne avec l’affaire Neumayer, déjà documentée ici, et
avec la même attitude méprisante dont il a fait preuve dans le cas d’une autre
requête similaire, il y a près d’un an, (juin 2011) ou notre bon maire s’était
engagé à fournir des réponses – voir
capsule 1 qui précède et pour laquelle nous attendons toujours les
réponses. «Lien».
Et nous sommes
toujours sans nouvelles. Espérons qu’il résistera à la tentation de mettre sous
contrat un autre spécialiste de l’entourloupette.
Il suffirait, tout
simplement, comme il est de son devoir de fournir des réponses lors des Séances. Quelques-uns d’entre nous
pourraient, moyennant un certain effort, arriver à comprendre et apprécier ces
réponses. Pourvu qu’elles ne soient pas trop tordues, comme c’est souvent le
cas.
À la Séance du 12 avril dernier, lors de la première période
de questions, M. Palmer a lu/ soumis texte de questionnement portant
essentiellement sur la dette qui
augmente de façon démesurée et inquiétante, sinon de façon périlleuse dans un
cadre de gestion qui lui apparait tout à fait insouciant et qui risque de nous mener droit à la faillite. Le texte intégral se trouve «Lien» suit:
Comme c’est le cas présentement pour des pays d’Europe
Avec justesse il remet en question les données fournies par
le maire comme étant fort douteuses et
trompeuses. Et il (et nous par le biais) pose la question directement au maire, à savoir; nous avez-nous trompé ou
nous avez-nous menti?
Et dans sa non-réponse
de ce soir, face à ce même requérant, il
entend poursuivre de la même façon que précédemment, c.a.d. via les journaux,
et ou sur le site de la ville.
Sans rater l’occasion de reprocher à m. Palmer de qualifier certaines
des quatre réponses déjà fournies comme
étant sans valeur, incomplètes et très peu pertinentes.
Et M. Palmer a parfaitement raison si l’on tient compte de
la marotte insipide fournie en guise de réponse affichée au site de la Ville,
plus particulièrement dans le cas du parc Moir. Déjà cité en 1 et repris ci-haut
Un modèle en matière de désinformation.
Comment traduire cette remarque entendue qui venait de la
salle : «sneeked-out» ou «snaked-out». Bon je laisse cela à nos amis.
Mais un fait demeure, à ce jour, pas de réponses pour
personne.