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lundi 27 mai 2013

Séance extraordinaire du Conseil
Mardi le 28 mai

Bon nombre d'entre nous avons pu en  prendre connaissance via un communiqué de la ville et aussi par un article paru dans l'Éveil de 18 mai dernier.
 Malheureusement, l'article de l'Éveil contenait une erreur grave en affirmant que cette séance allait se dérouler SANS le public.
Erreur anodine et sans conséquences, diront certains, FAUX.
Nous sommes devant une autre bourde de l'administration Lauzon, qui semble les accumuler à un rythme plus grand que le nombre de projets.
Certains, comme ci-bas iront jusqu’à dire qu'il s'agit  d'un plan de désinformation bien ficelé.
Ici on déplore une intention manifeste de mal informer les citoyens susceptibles de manifester leur vive opposition à ce projet de PPU (Plan Particulier Urbanisme) comme cela s'est fait à plus d'une occasion.
Consultez les documents en liens, «ici»  et vous pourrez juger de l’a-propos des commentaires du présent document. 
Et surtout soyez présents à cette assemblée du conseil 

Texte soumis par un groupe de citoyens du PPU visé.

Mesdames, Messieurs, élus et employés de la ville,

En date du 17 mai 2013, dans ses Actualités, L'Éveil fait paraître un article signé par Reine Côté, sous le titre Le maire Lauzon veut toujours aller de l'avant. Cet article traite de la séance extraordinaire du 28 mai 2013 à la ville de Deux-Montagnes. On peut y lire "... Cette séance n'est pas publique ...". Cette information est erronée et entraine donc de graves conséquences. Les quelque 330 citoyens s'étant fermement opposés aux Modifications du plan d'urbanisme le 12 juin dernier se sentent sûrement écartés du débat.

Comme madame Côté était absente de la séance du conseil du 9 mai où la tenue de cette séance extraordinaire a été annoncée, il apparaît évident que l'information à la base de son article provenait de la ville, et probablement de son Service des communications dirigé par madame Valérie Sauvé. Les points à l'ordre du jour de cette assemblée sont majeurs et névralgiques pour une très grande partie de la population de la ville. Et depuis plusieurs années, les changements de zonage annoncés ont occasionné de nombreux litiges qui perdurent toujours.

L'édition du journal a lieu le samedi 18 mai 2013 et la copie papier est distribuée alors à toutes les portes de la ville. Ce communiqué de la ville dans le journal a créé une commotion auprès de nombreux lecteurs. Plusieurs citoyens relèvent cette erreur et demandent une correction auprès du journal et de la ville. 

Le 21 mai 2013, la ville fait parvenir, par courriel, une invitation à cette assemblée, aux citoyens ayant accepté d'être inscrits sur une liste de destinataires, ce qui n'est pas tous les citoyens. Et ce qui est inhabituel, cette invitation se retrouve le même jour sous la rubrique Publications et Avis publics du site internet. Tous les citoyens ne vont pas consulter le site internet de la ville pour vérifier la véracité d'une information parue dans notre journal local. 

C'est la tâche d'un journaliste de vérifier la véracité de ses informations avant de publier. Et, si des erreurs se glissent, c'est la responsabilité du journal de publier un erratum ou autre rubrique qui attire l'attention du lecteur. Or, l'édition de L'Éveil du 25 mai, en page 20, fait paraître un article sous le titre Précision quant à cette erreur, ce qui n'est pas du tout l'annonce d'une correction. De plus, l'article initial du 17 mai 2013 est retrocorrigé; on peut y lire "... Comme toutes les séances ordinaires, cette séance extraordinaire sera publique et ouverte à tous ...". Depuis quand un journaliste va corriger l'article d'origine quand il fait une erreur ? Qui relit deux fois le même article d'un journal électronique ? Quand est-ce que la ville reconnaîtra son erreur de communication ?

Il a toute apparence que la ville ne veut pas nous voir à cette séance et qu'elle est la principale responsable de cet imbroglio. Transparence, intégrité, éthique sont encore des principes appliqués dans notre démocratie. Et encore plus dans le contexte municipal actuel québécois de collusion et de corruption reconnu par L'UPAC et la Commission Charbonneau. 

Par conséquent, compte tenu de la gravité de cette situation, nous exigeons, dans le respect des lois et règlements qui régissent une ville, que cette assemblée soit annulée et que madame Valérie Sauvé démissionne de son poste, puisqu'elle est responsable de la communication des informations de la ville. Nous aviserons de nouveau l'éditeur de L'Éveil que nous ne sommes pas satisfaits des correctifs apportés. 

Nous vous remercions de prendre en compte cette requête et de veiller, avant la fin prochaine du mandat des élus, de ne pas reproduire de telles erreurs qui nous privent de notre droit de parole et de participation aux décisions de notre ville qui nous lient pour des années.

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